> Lettre > d’un émigré en France adressée a son > père > A > mon papa l’affectueux > Ta > lettre est arrivée à mois > et je l’ai attrapée, je l’ai lue et > je l’ai comprise. > Depuis qu’elle est venue, le sommeil s’est > envolé de moi et mon > cœur se coupe en morceaux. Vous êtes restés > dans mois beaucoup. Je mendie > le Dieu pour qu’il vous donne la santé et le > feu. > Je > t’informe que > j’ai envoyé à toi un peu d’argent > pour que tu tournes le mouvement > un peu. Paie le loyer, l’eau et > l’électricité qui sont sur toi et > aussi celui de l épicerie, ne frappe le calcul à > rien. > Tu > m’as dit que mon frère HAMID est sorti de la > route, dis-lui que > s’il se perd qu’il attrape la terre. Il lui > manque de faire une > vente et un achat qui reviennent sur lui par le bien. > Aujourd’hui, chacun > frappe sur sa tête, il doit suivre notre parole ou > bien qu’il nage dans > sa mer. Quant à ma sœur MINA, dites-lui de ne pas > se dépêcher sur le > mariage. Ceux qui se sont dépêchés sont > morts. > Mais > mois j’étais malade > le mois qui est passé, j’ai attrapé le lit > quinze jours, les médecins > m’ont contrôlé et m’ont enlever le > sang. IL m’ont dit que je > n’ai ni sucre ni sel, sauf un peu de froideur. > Maintenant le temps > m’a passé, louange à Dieu > seul > Ici > en France, la vie est > difficile, même si nous photographions l’argent, > le temps n’est pas > jusqu’au là bas, il n’y a que court > après mois je cours après toi > et celui qui se néglige se rase. Mois voilà, je > travaille dans une société de > l’éducation des poules. Il m’ont > ajouté dans le salaire et > m’ont marqué dans le coffre de la garantie > sociale, sois seulement bon et > n’aies pas peur. Je vais venir au Maroc avant la > fête de la naissance. > Soyez prêts pour que je vous amène frapper un > tour à Marrakech et voir la > mosquée de la fin du monde. Le palais de la terre > cuite, et les sept hommes et > ajoute et ajoute. > Quant > à ma cousine > LA GAGNANTE , > dites-lui de dormir sur son bras droit, dès que je > rentre au mois de juillet, > on ferra le papier et l’entrée en une seule > fois. Il faut dire à sa mère > LA GRANDE , > qu’elle ramasse sa bouche parce que je sui un four et > capable d’un > quartier. Si non, je jette sa fille et je part chercher une > mieux que > la Grande. Et > comme on dit, celui qui te cache par un fil, caches le par > un mur. > Signé > ton